Un rapport émis par un projet de la Programme international géosphère-biosphère (IGBP), fournissant de nouvelles preuves que le noir de carbone est le deuxième plus grand contributeur anthropique au réchauffement climatique, a déclenché une énorme couverture médiatique. Des points de vente tels que la BBC, The Economist, le New York Times et le Washington Post ont repris l'histoire et ont rapporté que l'influence du noir de carbone sur le climat a été largement sous-estimée.
Le noir de carbone est le deuxième plus grand contributeur anthropique au réchauffement climatique et son influence sur le climat a été largement sous-estimée, unAjouter une imaged'après la première analyse quantitative et complète de cette question.
La étude historique publié dans le Journal of Geophysical Research-Atmospheres dit aujourd'hui que l'influence directe du carbone noir, ou suie, sur le réchauffement climatique pourrait être environ le double des estimations précédentes. Compte tenu de toutes les façons dont il peut affecter le climat, le carbone noir aurait un effet de réchauffement d'environ 1.1 watt par mètre carré (W/m²), soit environ les deux tiers de l'effet du plus grand contributeur au réchauffement climatique, le carbone dioxyde.
Aller à la Site Internet de l'IGBP pour tous les détails sur leurs conclusions, ou consultez les reportages suivants dans les médias grand public :
Changement climatique : le rôle de la suie sous-estimé, selon une étude
BBC News, 15 janvier 2013
Le noir de carbone deux fois plus dangereux que l'estimation de 2007, disent les scientifiques
Bloomberg. 15 janvier 2013
Le nouveau noir
The Economist, 19 janvier 2013
Le noir de carbone est pire pour le réchauffement climatique qu'on ne le pensait auparavant
Le Gardien, 17 janvier 2013
Le noir de carbone un puissant polluant climatique : étude internationale
Reuters, 15 janvier 2013
La combustion des particules de carburant fait plus de dégâts au climat qu'on ne le pense, selon une étude
Le New York Times, 15 janvier 2013
Le noir de carbone est la deuxième cause humaine du réchauffement climatique
Washington Post, 15 janvier 2013